16h45, quelques grosses gouttes commencent à tomber, l’orage gronde.
17h, je raccompagne Haingo au portail, elle vient de finir son travail, il pleut fort, heureusement, elle a son parapluie, et dans la rue, je vois le torrent d’eau qui dévale la pente. Pas de chance, je n’ai ni mon appareil photo, ni mon téléphone pour immortaliser cela. Mais je me dis, quand Sylvia, la kiné, arrivera à 17h30, je prendrai un appareil.
17h30, Sylvia a appelé pour dire qu’elle ne pourra pas venir. La pluie continue à tomber très fort. Bon, je me décide, j’enfile mon ciré, je prends mon appareil et je vais au portail pour prendre la photo. Pas de chance, j’ai oublié de remettre la carte mémoire dedans. Je retourne dans la maison, le pantalon et les chaussures détrempés, le ciré dégoulinant.
J’abandonne? Non, au point où j’en suis, mouillée pour mouillée… je prends la carte mémoire, et j’y retourne, la pluie continue toujours aussi fort et la photo du torrent dans la rue vaut la peine (ci-dessous, même plusieurs photos). Cette fois, vous y voyez plus clair sur l’intensité des orages ici.
Pendant ce temps, Nicolas est sur le chemin du retour pour des formalités pour nos visas (histoire qu’on puisse rentrer en Suisse dimanche et revenir ici en janvier). Il tente de s’abriter un moment sous un mini auvent, mais comme la pluie continue et qu’il se fait quand même mouiller, il finit par arriver à la maison, encore plus mouillé que moi (il n’avait pas de veste). PS: Sous sa chemise… les passeports de toute la famille… qui sont maintenant en train de sécher 😉



